Libéralité
03/07/2012 22:56 par etoiledutemps
Et si le monde tournait rond...
Et si les Hommes à l'égoïsme, l'indifférence, ne donnaient plus raison...
Et si les Hommes redevenaient humain bien plus qu'ils ne le sont ???
Et si les Hommes étaient un peu moins con de vouloir tout détruire
Ou même encore, par tous les moyens, de se laisser tenter à nuire...
A tous ces maux, je ne donne de nom...
alors qu'en un seul mot je pourrai bien hurler :
Désemparé !!!
Paumé... Perdu... Déboussolé...
Ma seule différence et non la moindre : ma pauvre humanité !!!
De la vie, je ne comprends pas toujours l'enjeu,
Qu'y aurait-il à perdre ? Ou même bien à gagner,
Puisqu'un jour, comme chacun d'entre nous, je mourrai ?
Tant qu'à partir je ne sais quand,
Autant profiter des moments... De l'instant...
Autant profiter pour aimer sans trop s' poser d' questions...
Et pourtant,
Signe de mon éventuel déraison,
Je souffre de constater que chaque jour,
Je pourrai bien perdre de cette belle humanité
Puisqu'ils sont si nombreux à tenter de se faire détester...
Ma richesse n'est qu'humaine, on a donc rien à me voler,
Et pourtant certains Hommes prennent simplement plaisir à saccager
Toutes ces très belles choses que je serai à même s'ils le savaient,
De pouvoir, avec eux partager...
S.trélia juillet 2012
«A ceux qui pensent que je les ai oublié... A ceux qui, un jour, ont partagé de mon existence passée, je suis toujours là, errant dans votre souvenance...»
Il est des gens que l'avenir a tué dans le passé mais que le présent ramène à nos pensées.
Ils sont de ceux que l'on a oublié mais qu'un endroit, un lieu ou une image nous rappellent qu'ils ont bien existé...
Un arrière goût de regret s'apprête à m'envahir, je décide de ne pas fuir, j'affronte donc avec bravoure ces démons qui m'inspirent...
Dans leurs bras je revis... l'instant d'un curieux rêve...je ne crois pas vraiment avoir l'envie qu'il s'achève... c'est dit !!!
Absurde et pesant, je me laisse être cette autre que je fus... Cela me tue mais je suis bien vivante et cette réalité me semble bien cruelle... Je fus...
Consumée alors par cette envie d'être encore, ce qui, aujourd'hui est mort resurgit et, se réveille alors, cette mémoire qui tous les jours s'endort...
Furtifs mais tenaces, les souvenirs m’entraînent et menacent ce présent, un présent bien fugace...
Un moment se passe dans lequel je ne sais plus très bien auquel je dois céder la place...
J'oublie ce que je suis, revivant et rêvant à ce que j'aurais été si j'avais fait, si je n'avais pas fait, des choix souhaité et non souhaité...
Qu'importe... Il me faut être... Etre ce que je suis, être ce que je fuis... Le fantôme d'un passé regretté, l'ombre d'une bien étrange réalité...
Estrélia -avril 2012-
Un grain de poussiere dans cet univers...
Un semblant d'existence, une abstraite présence...
Voilà ce que tu es....
Je tourne les pages de ta vie,
C'est la mienne qui défile devant mes yeux rougis...
Je t'ai confié jusqu'aux plus intimes de mes pensées,
Pendant des heures près de toi, je me suis abandonnée...
Laissant chacune de mes émotions se déverser,
Laissant chaque instant de l'intérieur, me dévorer...
Tout au long de ces années,
J'attendais de toi, des réponses...
Mais seuls, dans le vacarme de mon existence, ont résonné tes silences...
A présent, je comprends... Maintenant, je sais...
Tu m'invitais à la reflexion... ce que sans savoir, déjà je faisais...
T'écrire libérait mon esprit fatigué,
C'est ainsi que je trouvais cette force pour lutter...
Tu as été le meilleur de mes confidents, un ami, un allié,
Et ce, même quand de ta présence, ton existence semblait vouloir m'isoler,
Dans ton monde, très souvent j'errais entre rêve et réalité...
C'est en tournant tes pages que je me construisais et que je me créais,
C'est en te relisant que j'apprenais de moi ce que je devenais,
Ce que je deviendrai...
Sur tes pages blanches d'innocence,
Mon âme confiante s'épanchait en silence...
Tu n'es surement, aux yeux de certains,
Qu'un vieux cahier taché, un vieux bouquin...
Un brin de poussiere dans l'univers...
Mais tu détiens entre tes lignes le plus grand des mystères,
Celui d'une vie qui m'est très chère....
S.trélia -avril 2012-
Ne me songez point amère, ni solitaire ni encore tourmentée ou même affligée…
Je suis juste les mots d’un état d’état d’âme qui aime à s’épanouir librement sur une toile…
L’écriture se fait messagère de ma propre existence.
Elle n’a pour vocation que de soulager ma conscience…
Estrelia octobre 2011
Repartir dans ce jardin, où nombreux sont les secrets,
Pour revenir à ce qui m'enchantait, à ce qui m'inspirait...
Rejoindre par cet étrange chemin, le coeur même de ma vie,
Récolter d'hier, tout ce que je fus et, y semer d'aujourd'hui, tout ce que je suis...
Estrélia. Oct 2011
Le pardon est bien plus difficile à offrir que la haine.
Pourtant, le pardon d’une âme est bien plus doux à l’Etre que la haine du cœur qui, elle, tourmente gravement l’esprit.
Estrélia octobre 2011
"Je suis libre...libre de penser... libre d'exister...libre de vivre..."
Que tout ceux qui pensent qu'ils ne le sont pas, à l'idée de ces simples mots, s'ennivrent...
Estrélia Août 2011
S’il me fallait t’écrire pour réveiller ta conscience…
J‘aimerai te dire…
Tu ne me regarde plus…Tu ne m’écoute plus...
Je suis ravagée de l’intérieur…violentée…à nue…
JE ME MEURS…
Allez vas-y…!!!…vas-y…!!!…finis donc de me foutre en l’air…!!!…
Au diable ma mort, je ne respire que l’horreur…la peur et la misère…
Je suis un déchet de ta belle humanité…L’une de tes oubliés…
J‘AGONISE…
Je tremble de tes peurs…je te noie de mes larmes…
La mort viendra d’ces armes que tu enfouis en moi depuis des millénaires…tel un profane… Ton souffle destructeur m’empoisonne…Tes cris dans mes silences résonne… ALORS VAS-Y…TUES MOI ENCORE… Toi qui domine le monde…Toi qui porte le nom d’Homme… Tu crois tout contrôler…pourtant tu te questionnes… Quel est ton avenir sur une Terre dévastée …???… Quel est ton avenir si je cesse d’exister …???… "La Terre nous parle...écoutons là..."S.trélia 16.04.2011